Amy Miller - Alternative Media Centre, Independent Journalist from Darren Puscas on Vimeo.
Qui nous protège de la police?
G.S
Amy Miller - Alternative Media Centre, Independent Journalist from Darren Puscas on Vimeo.
D'autres articles qui parlent des Chosen FewRencontre avec l'équipe féminine des Chosen Few. "100 % blacks, 100 % lesbiennes."
A chacun son Mondial. L'équipe des Chosen Few prépare le sien. Coup d'envoi le 23 juillet à Cologne (Allemagne), théâtre des huitièmes Gay Games, les Jeux olympiques
de la communauté homosexuelle. Car cette bande de filles annonce la couleur: "100% blacks, 100% lesbiennes." Son quartier général? L'ancienne prison de femmes de Johannesburg, siège du Forum for the Empowerment of Women (FEW), l'ONG féministe qui les parraine.
Le mardi et le jeudi, quand sonne l'heure de l'entraînement, les footballeuses-militantes viennent piocher dans le fatras de chaussures à crampons, maillots, shorts et chaussettes entassé dans une armoire métallique barbouillée de tags. Puis elles traversent le hall de l'ex-pénitencier, converti en musée à l'austère majesté, et dévalent au petit trot Constitution Hill, jusqu'à la friche de Parktown qui, coincée entre un parking et une station service, fait office de stade. C'est là que Deekay Sibanda, 26 ans, pionnière d'une aventure amorcée en 2004 et ancienne milieu de terrain, dirige la manoeuvre. Courses croisées, slaloms, jonglage, jeu de tête : du sérieux. Car les Chosen Few ont un rang à tenir. Celui que leur valent les médailles de
bronze cueillies en 2006 à Chicago et, deux ans plus tard, à Londres, lors de la Coupe de l'Association internationale du football gay et lesbien."Au sein de ce groupe, avance Bathwanda, 19 ans, je me sens chez moi, à la maison. Personne ne me juge ni ne m'exclut. Au contraire." "Dans les clubs féminins, renchérit Deekay, l'ostracisme perdure. D'ailleurs la ligue sud-africaine refuse de nous accueillir dans son championnat." Toutes racontent la même histoire, faite de harcèlement, de mépris et d'affronts sexistes ou graveleux. Bathwanda n'oublie ni les sarcasmes essuyés au hasard des matchs - "Tu n'as pas de pénis", "Tu t'es trompée de chemin" - ni le verdict sans appel de cet entraîneur : "J'aime pas les gouines. Dégage de mon équipe !" A les entendre, ces combattantes venues des townships de Jo'burg ont trouvé à Parktown une "seconde famille". Voire l'unique foyer disposé à les accueillir. Car certaines ont payé d'un bannissement définitif leur coming out. "Moi, j'ai eu plus de chance, admet Lerato. Bien sûr, ma mère voulait voir dans mon homosexualité une lubie passagère. Mais jamais je n'ai été chassée ni reniée."
Sur le T-shirt de la capitaine Pinky Zoulou, point de nom d'idole du ballon rond. Mais ce slogan explicite : "En lutte contre le patriarcat et l'homophobie." De fait, les Chosen Fewmaîtrisent aussi bien l'art du happening que celui du une-deux. Pour preuve, ce sit-in devant le tribunal appelé à juger les assassins d'Eudy Simelane, star de l'équipe
nationale, massacrée à coups de couteaux après un viol collectif en avril 2008.
Deekay et ses protégées vivent pourtant dans le pays d'Afrique le plus libéral en la matière. Et elles le savent. Persécutés du Cameroun à l'Ouganda, les homos ont droit au mariage et à l'adoption au pays de Mandela. "C'est du moins ce que dit la loi, nuance l'une d'elles. Sur le papier, nous avons une magnifique constitution. Mais les mentalités, elles, restent figées. Il suffit d'écouter notre président." Allusion aux propos tenus en septembre 2006 par Jacob Zuma: "Jamais un gay n'a osé paraître devant moi, avait alors tonné le leader zoulou de l'ANC. Je l'aurais assommé à coups de poing. Ces gens sont une honte pour la patrie et pour Dieu." A chacun son arc-en-ciel : la nation sud-africaine a le sien, les filles de Chosen Few arborent le leur. Reste à en harmoniser les couleurs.
« Qu'est-ce que l' Hétéronormativité?
Un nouvelle théorie? un mot barbare de plus à apprendre? C'est fou ce qu'il faut être intelligent et cultivé pour faire la révolution vous me direz.
L'hétéro-normativité a un nom compliqué parce qu'elle structure la société depuis toujours, et qu'elle paraît donc tellement "naturelle" à tout le monde qu'il n'y avait pas besoin de mot pour la désigner. C'est la "nature", "l'ordre naturel des choses".
Que tu le veuilles ou non l'hétéronormativité fait partie de ta vie sans que tu en sois toujours conscient. Elle sculpte ton corps et tes désirs, elle te dicte tes choix et distille tes angoisses, elle te punit chaque jour de ne pas être "normal".
Penses-y!
_ D’abord tu n'es pas encore de ce monde qu'on veux savoir si tu es un garçon ou une fille.
_ Puis tu grandis en essayant d'être viril ou féminine, c'est ce que tout le monde attend de toi.
_ Enfin on veut décider de qui tu va tomber amoureux et quelle forme cet amour devra prendre! ... » Suite de l'article ici!
Affiche de la campagne présumé hétérosexuel
J'ai trouvé cette affiche sur le site de la Fondation Émergence. Je trouve que le message corespond bien à la situation et j'aime bien le slogan ( à part l'oubli ou la non volonté de féminiser le slogan; Présumé-e hétérosexuel-les).
Voici également le Dépliant de la campagne; Présumé hétérosexuel/Présumée hétérosexuelle de la Fondation Émergence
G.S
"Dialogues virils et grosses pétoires : en 1992, Reservoir Dogs posait l’univers de Quentin Tarantino comme fleurant bon la testostérone. Des années plus tard, les Kill Bill et Boulevard de la mort imposent le réalisateur non seulement comme capable de subvertir les codes du film mâle au profit d’une relecture féminine, mais encore comme un véritable féministe. Au fil de son œuvre encore passablement limitée, le rapport de Tarantino à ses personnages féminins, souvent centraux, a certes évolué, presque chronologiquement semble-t-il. Mais est-ce bien le cas ? "
Ever had one of those seemingly endless days?All you want to do is to get home... You're the last one out of the office. Its getting dark outside...
You walk down the streets and realize the streetlights are burnt out.
There's no one around. You hear a footstep behind you. The light flickers.
You turn and he says, "I wanna lick you all over....."And then you remember, you’re packing a 3' long .80 caliber machine gun that’s locked and loaded.
Ladies, are you sick and tired of catcalling, hollering, obnoxious one-liners and creepy street encounters? Tired of changing your route home to avoid uncomfortable situations?
IT'S PAYBACK TIME, BOYS.....
Elle recommence finalement à se prostituer lorsqu'elle découvre qu'elle était plus respectée en tant que prostituée. Un jour, un pimp s'impose à elle en la menaçant de violence. Elle doit lui donner la plupart de ses revenus. Le jour où elle veut le quitter et qu'il lui dit qu'il ne la laissera jamais partir, elle le tue et se retrouve en prison."I came to realize that a female employee is more afraid of losing her job than a prostitute is of losing her life. An employee is scared of losing her job an becoming a prostitute because she does not understand that the prostitute's life is in fact better than hers. And so she pays the price of her illusory fears with her life, her health, her body, and her mind. She pays the highest price for things of the lowest value. I now knew that all of us were prostitutes who sold themselves at varying prices, and that an expensive prostitute was better than a cheap one. I also knew that if I lost my job, all I would lose with it was the miserable salary, the contempt I would read every day in the eyes of the higher level executives when they look at the lesser female officials, the humiliating pressure of male bodies on mine when I rode in the bus, and the long morning queue in front of a perpetually overflowing toilet."
"I am saying that you are criminals, all of you: the fathers, the uncles, the husbands, the pimps, the lawyers, the doctors, the journalists, and all men of all professions.
They said, "You are a savage and dangerous women."
I am speaking the truth. And truth is savage and dangerous.
They put steel handcuffs around my wrists, and led me off to prison. In prison they kept me in a room where the windows and the doors were always shut. I knew why they were so afraid of me. I was the only woman who had torn the mask away, and exposed the face of their ugly reality. They condemned me to death not because I had killed a man - there are thousands of people being killed every day - but because they are afraid to let me live. They know that as long as I am alive they will not be safe, that I shall kill them. My life means their death. My death means their life. They want to live."
The Question:No disrespect to big-white-dress-lovin' brides (like Izzie), but as someone who ended up wearing lime green and black at my wedding, I really appreciate Shonda's take on things. We did have some poufy white tulle on the dog, though. She wore my sister's recycled wedding hairpiece as a collar and looked quite fetching.
Any chance Shonda Rhimes will do an about-face and give Derek and Meredith a real wedding on Grey’s Anatomy? She backed down on her “no babies” stance, so I’m hoping maybe she changed her mind about the wedding thing too. A girl can dream.
Replies Shonda:
“I deeply appreciate the fans and how much they care about Meredith and Derek, but as a woman and a human being and the mother of a girl, I just feel like this idea that somebody in a big white dress is the be-all and end-all of human existence is a terrible message to send out,” maintains Rhimes.
“I felt like Meredith and Derek’s choice to be together becomes a marriage of equals as opposed to some faux fairy tale. And while I love a good wedding, I felt like for Meredith, it was so counter to who she is as a human being. And I love the fact that Derek doesn’t need her to do it. I get why the fans want it; I’d probably want it too if I was just watching. But I literally feel sick every time I think about Meredith in a big white poufy dress.”
''Forcément tu veux retenir l'attention, on t'a appris depuis que tu es petite qu'une femme doit plaire, être belle. Ce jour-là, ce serait toi la princesse.''-Le mariage, reflet de la société
''Pourquoi refuser l’accès au mariage aux couples de même sexe ? D’où vient donc cette volonté quasi obsessionnelle de les exclure à tout prix de cette institution ?''-Le mariage, du rêve à l'obsession
''Depuis des générations lointaines, l'accomplissement de la vie d'une jeune fille, sa consécration, ressemble à une robe blanche''
''Can we just be honest between us girls? No matter how committed we are to feminist ideals, each day in small ways we collude with patriarchy to maintain male hegemony.''
''So that's where I'm at so far. I'm sure things will continue to come up and that I'll continue to try and find ways to subvert them or add a little dash of feminism.''
''Don't even bother picking up a bridal magazine, unless your purpose is to laugh at it.''
Communiqué
LE CORPS N’EST PAS UNE MARCHANDISE
La CLEF réaffirme sa position abolitionniste et s’associe aux nombreux mouvements de mobilisation dans le monde pour protester contre la collusion entre sport, argent et prostitution qui se banalise autour des événements sportifs mondiaux.
En 2006, à l’occasion de la coupe du monde de football en Allemagne, la mobilisation avait été forte à l’appel de la Coalition contre la traite des femmes (CATW) et Femmes Solidaires. Responsables politiques et personnalités sportives s’étaient engagés contre la prostitution*.
Qu’en est-il quatre ans plus tard pour la coupe du monde de football en Afrique du Sud ?
Le 1er mars 2010, lors d’une conférence de presse, le Secrétaire Général de la FIFA, Jérôme Valcke, déclarait : « la prostitution arrivera. On ne peut rien y faire ».Avec 4 millions de places à vendre, 500 000 touristes sportifs attendus, et 1 milliard de préservatifs commandés par le gouvernement sud-africain, combien de personnes prostituées sont attendues ? Des milliers certainement, des dizaines de milliers peut-être, en provenance du monde entier mais aussi des quartiers et villages d’Afrique du Sud souffrant d’une extrême pauvreté*.
La prostitution est une violence qui frappe les femmes de plein fouet. Ce n’est pas une fatalité, mais un fléau qu’il faut combattre.
La coupe du monde de football doit rester une fête sportive et ne doit pas être synonyme de drame humain.Contact : 06 77 02 71 26 – Olga Trostiansky, Présidente
"What does a vagine smell like?
Earth.
Wet garbage.
God.
Water.
A brand-new morning.
Depth.
Sweet ginger.
Sweat.
Depends.
Musk.
Me.
No smell, I've been told.
Pineapple.
Chalice essence.
Paloma Picasso.
Earthy meat and musk.
Cinnamon and cloves.
Roses.
Spicy musky jasmine forest, deep, deep forest.
Damp moss.
Yummy candy.
The South Pacific.
Somewhere between fish and lilac.
Peaches.
The woods.
Ripe fruit.
Strawberry-kiwi tea.
Fish.
Heaven.
Vinegar and water.
Light, sweet liquor.
Cheese.
Ocean.
Sexy.
A sponge.
The beginning."