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mardi 10 septembre 2013

Journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes & Sisters in Spirit 2013


La journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes se déroule généralement le 3e vendredi de septembre. C'est un moment pour dénoncer la violence sexuelle faite aux femmes par des actions collectives qui par le fait même sensibilise la population.  Plusieurs évènements ont lieu simultanément partout au Québec dont plusieurs organisés par des CALACS (Centre d'action et de lutte contre les agressions à caractère sexuel).

Pour leur part, les vigiles de Sisters in Spirit, organisées par l'Association des femmes autochtones du Canada, se tienne le 4 octobre afin de commémorer la vie des femmes autochtones disparues et assassinées.


Les Furies, comme les années précédentes, ont établi la liste des activités pour cette journée et vous invite à y participer ( ou à prendre l'initiative d'en créer)!

Si nous avons oublié des évènements, n'hésitez pas à nous écrire : lesfuries@gmail.com

Grand-Mère
18 septembre 2013 à 17h
Salle communautaire du Centre d’action bénévole
Le CALACS Entraid’Action, centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel, invite la population à une activité publique d’information et de sensibilisation sous le thème «LA PROSTITUTION»

C’est sous le thème de la prostitution que se tiendra cette année la Journée d’Action contre la violence sexuelle faite aux femmes. Ce thème invite les gens à réfléchir collectivement et individuellement sur cette réalité sociale. Pour ce faire, le CALACS Entraid’Action vous convie à venir rencontrer Madame Félicité Godbout, représentante régionale pour le Conseil du statut de la femme. Madame Godbout nous entretiendra entre autre, sur le contenu et la réflexion qui ont mené le CSF à publier au printemps 2012 l’avis intitulé La prostitution, il est temps d’agir.

C’est dans une formule 5h à 8h le mercredi 18 septembre que nous accueillerons ceux et celles qui désirent mieux comprendre les enjeux de la prostitution dans notre société, en particulier sur les droits des femmes. Cette activité se tiendra à la salle communautaire du Centre d’action bénévole de Grand-Mère située au 632, 13è rue. Vous devez obligatoirement confirmer votre présence avant le 16 septembre en téléphonant au 819-538-4554 ou par courriel à info@calacs-entraide.ca. 
Soyez les bienvenus!
Drummondville 
20 septembre 2013 à 18h30
Parc Saint-Frédéric
Pour dénoncer la violence sexuelle faite aux femmes, une vigile sera organisée, le vendredi 20 septembre à 18h30 au parc Saint-Frédéric de Drummondville.

Le Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) et leur Regroupement soulignent la Journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes sous un thème d’actualité : la prostitution.

CALACS La Passerelle invite la population, hommes et femmes, adolescentes et adolescent à participer à la Vigile en solidarité avec les femmes qui vivent dans la prostitution. L’événement débutera par une présentation théâtrale animée par trois femmes, suivra un moment consacré aux débats où tous pourront s'exprimer. La soirée se terminera par une vigile.

Maniwaki 
20 septembre à 19h
Auditorium de la Cité étudiante de la Vallée-de-la-Gatineau
Le C.A.L.A.C.S de Maniwaki tiendra sa pièce de théâtre d'intervention annuelle lors de la journée de solidarité contre la violence faite aux femmes, soit le 20 septembre prochain, 19h00, à l'auditorium de la Cité étudiante de la Vallée-de-la-Gatineau. Cette année, la troupe de théâtre professionnelle « Parminou» présentera une pièce audacieuse nommée « Parole d'or, silence d'argent», celle-ci visant à sensibiliser la population à la matraitance faite aux aîné(e)s. Le C.A.L.A.C.S souhaite mentionner que l'entrée se fera sur contribution volontaire alors que les billets sont habituellement d'une valeur de 40,00$. Pour toutes informations, veuillez contacter Madame Maude Bélair au 819-441-2111. Il est à noter que les billets pourront vous être envoyés par courrier. Au plaisir de vous voir!
Sherbrooke
20 septembre 2013 à 16h
Marché de la Gare

Ensemble, marchons pour l’égalité JACVSFF 2013

Le Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) de l’Estrie est fier de vous annoncer la tenue imminente de l’évènement « Ensemble, marchons pour l’égalité – JACVSFF 2013 », le vendredi 20 septembre à compter de 16h, au Marché de la Gare.

Depuis la nuit des temps, les femmes vivent dans la peur et l’évitement en appréhendant sans cesse d’être victimes d’agression.

San Francisco, 1978. Des femmes prennent d’assaut la ville et revendiquent : « La rue, la nuit, femmes sans peur ». Aujourd’hui, ce sont des hommes et des femmes du monde entier qui descendent dans la rue à chaque troisième vendredi de septembre afin de souligner la Journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes (JACVSFF).

La population de l’Estrie ne fait pas exception. En effet, cette année encore, un rassemblement d’organismes communautaires ainsi qu’une marche sont organisés pour susciter l’implication de la communauté dans la lutte contre la violence sexuelle : parce que c’est la pression populaire qui est à la base de tous changements fondamentaux dans une société.

Contribuez donc au mouvement mondial en y prenant part et en faisant circuler l’information. Parlez de l’évènement afin qu’un maximum de personnes soit rassemblé et que l’Estrie se lève enfin pour dénoncer les violences sexuelles faites aux femmes.

VENDREDI 20 SEPTEMBRE 2013 MARCHÉ DE LA GARE 16H DÉPART DE LA MARCHE 17H30

Des t-shirt à l’effigie de la marche seront offerts aux 150 premiers participants

Montréal
20 septembre 2013 à 19h15
Parc des compagnons de Saint-Laurent
Événement facebook

La peur de marcher la nuit est un phénomène bien connu de toutes les femmes, quel que soit leur âge, leur origine ou leur classe sociale.
Hormis la maison, l’espace public est le deuxième lieu où les femmes risquent le plus d’être victimes de voies de fait ou d’agressions sexuelles.
L'insécurité des femmes dans l’espace public, est donc une inégalité sociale de plus qu’il faut considérer comme faisant partie du continuum de la violence sexiste.
Le 20 SEPTEMBRE 2013 vous êtes donc invitées à reprendre la nuit lors d'une marche non-mixte afin de protester contre la peur, la violence, le sexisme et l'exploitation sexuelle dont les femmes sont victimes dans l'espace public.
Le rendez-vous est  à 19h15 au PARC DES COMPAGNONS DE SAINT-LAURENT (sur Mont-Royal, entre Papineau et deLorimier). Ce parc a été choisi comme lieu de départ car plusieurs agressions de femmes itinérantes y ont eu lieu au cour des derniers mois. Nous y lirons un cour discours avant de nous diriger vers le MÉTRO MONT-ROYAL.
Après la marche vous êtes chaleureusement invitées à une SOIRÉE SPECTACLE GRATUITE AU RESTO PLATEAU (4450 rue St-Hubert). 

Participez à une courte marche suivie d’une soirée-spectacle avec des centaines de femmes pour revendiquer le droit des femmes à occuper l'espace public la nuit, comme le jour, en plus de dénoncer le harcèlement et les violences faites envers les femmes.

**Les femmes du Centre Écho des femmes de la Petite-Patrie se donnent rendez-vous au métro Beaubien à 18h45. Billets d'autobus fournis. Inscription requise.Téléphone du contact : 514-277-7445

Montréal
17 septembre 2013 à 11h
Collège de Maisonneuve
Dans le cadre de la journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes, Trêve pour Elles (centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel) organise une activité de sensibilisation sous le thème de «L’exploitation sexuelle ».

Trêve pour Elles désire susciter la réflexion sur ce thème. Pour ce faire, nous avons élaboré différentes activités dynamiques et amusantes afin de rendre cette journée conviviale. Des prix (laissez-passer, certificats-cadeaux, etc..) pourront être gagnés lors des différents activités.

Que ce soit pour échanger, partager, questionner ou recevoir de l’information, vous êtes les bienvenues! Sans compter que nous avons quelques petites surprises pour les participantes.

Au plaisir de vous compter parmi nous!!

Quand : mardi 17 septembre 2013

Heure : de 11h00 à 14h00

Où : Collège de Maisonneuve
2701 Nicolet Montréal Hochelaga-Maisonneuve

Informations supplémentaires (lieu) : Porte B4, en face de la cafétéria

Contact : Trêve pour Elles

Téléphone du contact : 514-251-0323
Lévis
20 septembre à 20h
Affiche de l'évènement
Départ : 39 rue Guérette (Caisse Desjardins)
Arrivée : L'Espéranto (55, Côte du Passage)
Info : 418 835 8342
Ottawa
26 septembre
Évènement facebook

Tu ne sais pas ce qu'est "La rue, la nuit, tous sans peur!"?
Vous voulez dénoncer la violence genrée dans vos communautées?

Joignez-vous à nous avant le marche de la ville pour ''La rue, la nuit, tous sans peur!'', dans le Centre de ressources des femes au 220 Jock Turquot/UCU, entre le Tim Hortons et le ATM banque Scotia.

Nous discuterons de La rue la nuit, tous sans peur, ses origines, son histoire et pourquoi c'est important pour toi.
Nous aurons du chocolat chaud, du café et du tea avec des grignotines!

Après nous marcherons ensemble au ralliement!

DISCUSSION AU CRF (uOttawa)
16h30 - 220 UCU

RALLIEMENT
18h00 – Ralliement au Parc Minto

MARCHE
18h45 – La Marche débutera au Parc Minto. Un autobus accessible sera disponible

FOIRE D’INFORMATION
20h15 – La Marche se terminera à l’Hôtel de Ville où il aura une foire d’information ainsi que des rafraîchissements pour les participantes.

8ième édition annuelle de la marche et veille commémorative Sisters in Spirit pour les femmes autochtones disparues et assassinées 

Montréal
4 octobre à 18h
Square Cabot
Missing Justice et le Centre contre l'oppression des genres vous invitent à venir et à soutenir la marche et veille commémorative et annuelle des Sisters in Spirit. Bridget Tolley a fondé la Marche et veille en 2005. Depuis, l’événement s’est répété chaque année à l’occasion de l’anniversaire du décès de sa mère, le 4 octobre. Au fil des ans, des marches similaires ont été organisées d’un bout à l’autre du pays pour marquer cet anniversaire. En 2010, 86 marches ont été organisées dans des communautés partout au Canada, un nombre record à ce jour. Une marche a même été organisée au Nicaragua pour montrer que la violence systémique à l’endroit des femmes autochtones est un phénomène qui afflige les nations colonisées partout dans le monde.

Vous pouvez également contacter votre CALACS le plus près pour savoir si des évènements se déroulent dans votre région : Coordonnées des CALACS

jeudi 25 novembre 2010

Ça bouge! (du 25 nov. au 6 déc.)

C'est aujourd'hui que commençaient les 12 jours d’action pour l’élimination de la violence envers les femmes . 14 propositions , une pour chaque victime de Polytechnique, sous forme d'autocollants ont été faites pour atteindre cet objectif. En voici quelques-unes:

  • Dénoncer les publicités sexistes
  • Dénoncer l'idéal de beauté qui nous est imposé
  • Refuser que les droits des femmes servent de prétexte à la guerre
  • Intervenir si nous entendons des paroles violentes ou sexistes
  • Intervenir lorsqu'une femme se fait harceler ou violenter
  • Dénoncer les propos antiféministes
  • Dénoncer la banalisation de la violence
À chaque jour durant cette campagne se dérouleront diverses activités. Vous trouverez les informations nécessaires sur le site de la FFQ entre autres. Le point culminant sera la commémoration de l'attentat de Polytechnique le 6 décembre.

En France, les associations Mix-cité, Osez le féminisme et Collectif féministe contre le viol lançaient hier une vaste campagne contre le viol : "La honte doit changer de camp".



Et puis en cette journée de la jupe organisée par le regroupement français Ni putes Ni soumises, on se demande quoi en penser. Voici une entrevue très intéressante avec l'historienne féministe Christine Bard. J'en retiens pour vous la fin :

Que pensez-vous de l’initiative «La journée de la jupe»? Y a-t-il des précédents?

Le printemps de la jupe existe depuis 2006: c’est une très belle initiative, partie d’un lycée agricole près de Rennes. Les élèves y sont amenés à réfléchir aux relations entre les sexes, au sexisme, à la violence. C’est une association extérieure à l’établissement (Libertés couleurs) qui intervient pour libérer la parole des jeunes: des jugements portés sur le vêtement, on passe vite à des questions qui relèvent de la gestion de la mixité.

La journée de la jupe de NPNS est de nature différente. Il faudra en faire le bilan. Je me demande si les femmes qui ont connu l’interdiction du pantalon lorsqu’elles étaient élèves seront enthousiastes.

La jupe, après avoir été symbole du sexisme, peut-elle devenir celui de l’antisexisme? C’est possible, mais le risque est grand de recréer une assignation identitaire. La «fierté féminine» peut servir des objectifs politiques progressistes autant que conservateurs (voir Sarah Palin et les tubes de rouge à lèvres brandis dans ses meetings).

A mon sens la jupe ne pourra devenir vraiment libératrice que si elle concerne aussi les hommes. Combien d’hommes aujourd’hui porteront la jupe pour dénoncer les violences que subissent tant de femmes?


Alors, on revendique la jupe ou pas?

mercredi 9 juin 2010

Rape on the Reservation

Un reportage de Vanguard, visionné sur Current tv cette semaine.
La journaliste explore la situation des femmes autochtones sur une réserve des États-Unis. On y voit comment elles font face à la violence physique et sexuelle presque systématiquement, quelles sont les ressources à leur disposition et comment leur entourage réagit à ces situations.



Si vous aimez leur style, il y a plusieurs autres reportages intéressants sur le site dont celui-ci, sur la situation des gays et lesbiennes en Ouganda qui doivent faire face à une vague de haine et à un projet de loi (incluant l'emprisonnement à vie et la peine de mort) sans précédent.

mardi 25 mai 2010

La publicité et Marianne, la française pure et enceinte ou violentée

Un petit tour de l'autre côté de l'océan pour voir deux publicité française récente qui représente Marianne :

Marianne est la figure allégorique de la République française. Sous l’apparence d’une femme coiffée d’un bonnet phrygien, Marianne incarne la République française et représente par là-même les valeurs républicaines françaises contenues dans la devise : « Liberté, Égalité, Fraternité » - Wiki.


Il semble que le symbole de LA patrie puisse également promouvoir des messages stéréotypés et violents selon les publicitaires...





Avis des concepteurs : "C'est une allégorie publicitaire de la Marianne" qui "fait le boulot de nous projeter dans l'avenir". Sa tenue blanche associée à "la pureté cristalline, représente ce beau moment de la maternité qui incarne tout le potentiel de ce grand emprunt"

Le boulot de Marianne est de faire des enfants ?!?!
Pure, Maternité, Vierge... hum ca me rappelle vaguement quelque chose!

Un article sur Le blogue d'une chienne de garde sur cette pub




Celle là se passe de commentaires, Gros chou pour reporters sans frontières ou reporters sans jugement selon moi!

L'action de la Meute sur cette pub

G.S

jeudi 3 décembre 2009

Violence conjugale et lesbiennes : Ça existe.

La violence conjugale se vit aussi dans des couples lesbiens, mais le phénomène est souvent ignoré, nié.
Le vidéo qui suit est très intéressant.



Sur le site Les Alter-Citoyens
Centre de solidarité lesbienne

dimanche 22 mars 2009

Témoignages de femmes autochtones


J'ai trouvé un site vraiment chouette de l'association des femmes autochtones du Canada, beaucoup de documents, d'informations, ça vaut la peine d'aller fouiner un peu juste pour en apprendre un peu plus sur ces femmes qui vivent une réalité différente de la nôtre.

Sur le site, un document pdf que j'ai vraiment trouvé intéressant, c'est une compilation de 40 histoires de femmes autochtones ainées. À lire avec l'esprit ouvert considérant que c'est une toute autre culture et il y a certains passages un peu difficile aussi : Écoutez leurs histoires : 40 femmes autochtones parlent (1997)

Extrait:
ANGÉLINE
Issue des Premières nations, Angéline a 59 ans et elle vit dans sa maison, dans une communauté des Premières nations de la côte atlantique. Elle demeure avec son fils et sa fille.

Bien que je n'aie ni été témoin, ni été moi-même victime de violence chez moi, je me souviens, alors que j'avais huit ans, être allée à un mariage avec ma famille et avoir vu cet homme frapper sa femme et l'avoir traînée dans le bois. Je me rappelle encore avoir entendu crier cette femme, ce qui m'avait dérangée alors, et encore aujourd'hui, c'est que ni un homme et ni
une femme ne s'étaient portés au secours de cette personne qui se faisait battre sous les yeus de tous. Jusqu'à ce jour, je peux encore entendre ses cris. Le lendemain, je me rappelle avoir vu tous ces gens à l'église, et je me demandais s’ils croyaient en Dieu et aux individus; et si oui, pourquoi avaient-ils laissé faire cette situation pour cette femme? Leur comportement était
impardonnable; j'ai ressentie du mépris et de la rage envers eux parce qu'ils n'étaient pas intervenues. Il y a six ou sept ans, une jeune femme enceinte est venue au bureau où je travaille et son mari, qui l'a rattrapée, a commencé à la battre. Plusieurs hommes se trouvaient à la fenêtre, regardant ce qui se passait, mais ils ne l'ont pas aidée, même si elle était enceinte! Je me suis demandée s'il y avait, dans cette communauté, des hommes qui auraient pu l'arrêter; à mes yeux, ils n'étaient que des lâches. ...

... Durant mon mariage, j'ai été victime de violence physique, mentale, émotionnelle, financière et spirituelle. La violence a débuté presque tout de suite après que nous nous soyons mariés. J’ai pensé que j'avais épousé le « prince charmant ». Quoique la violence ait commencé graduellement, quatre ans après, tout a éclaté. Ce n'était rien pour moi que d'être couverte de bleus et d'être jetée sur le plancher. J'avais pris l'habitude d'économiser, surtout, pour acheter de la nourriture pour nos trois enfants parce qu'il ne me donnait pas d'argent. Il dépensait son argent à boire. Après un certain temps, il m'a même empêchée d'aller à l'église; c'est ce que j'appelle de la violence spirituelle. ...

G.S